Dolly Bretteur (parodie d'Harry Potter) [Korok et Eiko]

Les romanciers en herbe pourront nous faire partager leurs oeuvres littéraires !

Modérateur : Divinités du Sanctuaire Sacré

Korok
Disciple Niveau 7
Disciple Niveau 7
Messages : 483
Inscription : 06 janv. 2005 13:15
Localisation : DMC
Contact :
Finaland  :

Dolly Bretteur (parodie d'Harry Potter) [Korok et Eiko]

Messagepar Korok » 07 nov. 2005 20:57

Bonjour à tous, voilà ma nouvelle fic qui parodira Harry Potter... bon courage pour tout lire... :D

PARTIE 1 : DOLLY BRETTEUR A L’ECOLE DES POMMIERS

chapitre 1 : Le survivant de la mort qui tue

Mr et Mrs Dulait, qui habitait au 4, Navet cerise, avaient toujours affirmé avec la plus grande fierté qu’ils étaient à peut près normaux, tant pis pour eux. Jamais Quiconque (un voisin) n’aurait imaginé qu’ils puissent se trouver impliqués dans quoi que ce soit d’étrange ou de mystérieux. Ils n’avaient pas de temps à perdre avec des sornettes.

Mr Dulait dirigeait la Grosinge, une entreprise qui fabriquait des perceuses. C’était un homme grand et massif, qui n’avait pratiquement pas de cou, mais possédait en revanche, une moustache de belle taille et un triple menton. Mrs Dulait, quant à elle, était mince et blonde (que ce soit mentalement ou physiquement) et disposait d’un cou deux fois plus long que la moyenne, ce qui lui était fort utile pour espionner les voisins en regardant par-dessus les clôtures des jardins. Les Dulait avaient un petit garçon prénommé Dupet et c’était à leurs yeux le plus bel enfant du monde.

Les Dulait avaient tout ce qu’ils voulaient. La seule chose indésirable qu’ils possédaient, c’était un secret dont ils craignaient plus que tout qu’on le découvre un jour (ou un soir aussi). Si jamais Quiconque (le voisin) venait à entendre parler des Bretteur, ils étaient convaincus qu’ils ne s’en remettraient pas avant un mois en tout cas. Mrs Bretteur était la sœur de Mrs Dulait, mais toutes deux ne s’étaient plus revues depuis des années. En fait, Mrs Dulait faisait comme si elle était fille unique, car sa sœur et son bon à tout faire de mari étaient aussi éloignés que possible de tout ce qui faisait un Dulait, tant mieux pour eux. Les Dulait tremblaient d’épouvante à la pensée de ce que dirait Quiconque (le voisin, il faut suivre !) si il voyait par malheur les Bretteur dans la rue. Ils savaient que les Bretteur, eux aussi, avaient un petit garçon, mais ils ne l’avaient jamais vu. Son existence constituait une raison supplémentaire de tenir les Bretteur à distance : Il n’était pas question que le petit Bretteur fréquente un enfant comme Dupet.

Lorsque Mr et Mrs Dulait s’éveillèrent, au matin du mardi oú commence cette fic, il faisait gris et triste et rien dans le ciel nuageux ne laissait prévoir les conneries qui seront écrites par la suite. Mr Dulait fredonnait l’air des Télétubbies en nouant un bandana sinistre autour de sa tête pour aller travailler et Mrs Dulait parlait toute seule en tentant d’installer surs sa chaise de bébé le jeune Dupet qui braillait de toute le force de ses poumons.

Aucun d’eux ne remarqua Vincent McDoom faisant coucou devant la fenêtre.

A huit heures et demie, Mr Dulait prit son sachet plastique, tenta d’éviter le bisou que voulait faire sa femme et les céréales que lui balançait son fils à la gueule.

-Sacré petit con, gloussa Mr Dulait en se dépêchant de quitter la maison.

Il monta sur son tricycle et recula le long de l’allée qui menait à sa maison.

Ce fut au coin de la rue qu’il remarqua pour la première fois un détail insolite : un chat tigré qui lui faisait un doigt d’honneur. Mr Dulait cligna des yeux pour regarder une seconde fois. Le chat tigré faisait toujours un doigt d’honneur.

-Et ta mère ! Dit Mr Dulait en passant devant le chat tigré avec son tricycle. Il eut pour simple réponse un miaulement haineux. « Tsss, tous pareil ces chats !» pensa-il. Il se ressaisit et chassa le chat tigré de son esprit, il s’imaginait des choses torrides durant le trajet qui menait à la ville.

Mais lorsqu’il parvint aux abords de la ville quelque chose chassa les filles en maillots de bain de sa tête. Pendant le feu rouge il remarqua plusieurs passants vêtus d’une étrange façon : ils portaient des capes rose fluo. Mr Dulait ne supportait pas le rose, c’est comme le rouge avec les taureaux, ça le rend colérique. Durant le reste du trajet il vit plusieurs personnes vêtus de capes roses et vertes fluo. Lorsqu’il gara son tricycle dans le parking de la Grosinge, les filles en maillot de bain étaient revenus dans son esprit.

Dans son bureau au 8ème étage, Mr Dulait s’asseyait toujours de dos à la fenêtre, il travaillait mieux ainsi. Pendant ce temps les passants qui, dans la rue, pointaient leur doigts dans le ciel pour montrer des hiboux qui volaient en pleins jour. A midi, après avoir virer sa secrétaire et frappé quelques-uns de ses employés, Mr Dulait décida de s’acheter à manger chez le boulanger d’en face.

Il vît à nouveaux des passants portants des capes fluo dans la rue. Il n’y fit pas attention et alla s’acheter des beignets. Quand il sortit de la boutique, il entendit quelques mots d’une conversation entre deux types portant une cape fluo.

-Les Bretteur, c’est ça, c’est ce que j’ai entendu dire…

-Oui, leurs fils, Dolly…

Mr Dulait s’immobilisa, envahi par une peur soudaine. Il tourna la tête vers les gens qui discutaient, mais ils avaient disparus…

Durant toute l’après-midi il pensa à ce qu’il avait entendu, mais comme il n’était pas sur du nom que portait le fils de la sœur de Pétunia, peut être était-ce Davis Ou Dufy, Il était inutile d’appeler Mrs Dulait pour l’inquiéter. Il ne pouvait en vouloir à Mrs Dulait si elle avait eut une sœur comme celle-là…
Mais enfin quand même, tous ces gens vêtus de capes fluo…

Lorsqu’il quitta le bureau à cinq heures, il était perdu dans ses pensés et heurta accidentellement quelqu’un devant la porte.

-Navré, grommela-t-il au vieil homme lilliputien qu’il avait manqué de faire tombé.

Il se passa quelques secondes avant que Mr Dulait remarqua que l’homme qu’il avait bousculé portait une cape violette fluo.

-Ne soyez pas navré, mon cher Monsieur. Rien aujourd’hui ne saurait me mettre en colère, Réjouissez vous, puisque Celui-dont-il-ne-faut-pas-prononcer-le-nom-car-cela-ne-se-fait-pas-alors-il-ne-faut-pas-le-prononcer a enfin disparu. Même les Molducus comme vous devraient fêter cet heureux, très heureux jour !

L’étrange vieil homme serra Mr Dulait dans ses bras et partit en riant. Mr Dulait resta cloué sur place, il s’était bien fait appelé « molducu » ? ce qui n’avait aucun sens. Il en était tout retourné et se dépêcha d’enfourcher son tricycle pour rentrer à sa maison. « J’ai du imaginer ce mot… » se dit-il.

Lorsqu’il s’engagea dans l’allée numéro 4 de sa rue, il vit à nouveau le chat tigré. Il était sur qu’il s’agissait du même chat car il reconnaissait les dessins de son pelage autour de ses yeux.

-Allez, barre toi connard ! s’exclama Mr Dulait.

Le chat ne bougea pas. Il se contenta de le regarder d’un air sévère. Mr Dulait se demanda si c’était un comportement normal pour un chat. Lorsqu’il rentra à la maison il décida de ne rien révéler à sa femme.

Mrs Dulait avait passé une journée agréable et parfaitement normale. Au cour du dîner, elle lui raconta tous les problèmes que la voisine d’à coté avait avec son hamster et lui signala que Dupet avait appris un nouveau mot : « Ta gueule !». Mr Dulait s’efforça de se conduire le plus normalement du monde (ce qui est dur pour un type allant au boulot en tricycle) et après que Dupet eut été mis au lit, il s’installa dans le salon pour regarder la fin de Star Academy :

-D’après le témoignage de Magalie, elle n’est pas venue car des hiboux l’auraient attaqués, c’est bien fait pour sa gueule, de toute façon on l’aurait viré. Voici maintenant la météo avec Mireille Mathieu !

-Bonsoir à tous, commença la présentatrice météo. Alors certaines personne se son plaintes car je me suis trompé dans mes prédictions, j’ai annoncé de la pluie, et au lieu de ça il a fait grand beau. Quoi qu’il en soit, vous pouvez être sur que le temps de la nuit prochaine sera sombre.

-Merci Mireille, nous nous retrouvons dans 25 minutes, après la pub.

Mr Dulait se figea sur son fauteuil. Mireille Mathieu qui se trompe de prédiction météorologique, des hiboux qui attaquent Magalie, des gens portant des capes fluo et ces rumeurs sur les Bretteur. Décidément il se passe de drôle de choses…

Mrs Dulait entra dans le salon avec du shit. Décidément, il y avait quelque chose qui n’allait pas. Il faillit lui en parler. Mr Dulait, un peut nerveux, s’éclaircit la gorge.

-Euh… Pétunia, ma chérie, dit il, tu n’as pas eut des nouvelles de ta {censuré} de sœur récemment ?

Comme il s’y attendait, son épouse sourit lorsqu’elle entendit « {censuré} de sœur ». Elle faisait comme si elle n’avait pas de sœur à moins que l’on l’insulte.

-Non, répondit elle joyeusement. Pourquoi ?

-Ils ont dit un truc bizarre à la télé, grommela Mr Dulait. Magalie se fait attaquer par des hiboux… Mireille Mathieu se trompe dans la météo… et il y avait un tas de gens qui avaient un drôle d’air aujourd’hui.

-Et alors ? lança Mrs Dulait.

-Rien, je me disait que… peut être… ça avait quelque chose à voir avec… sa bande…

Mrs Dulait retroussa ses lèvre en fumant son shit étrangement. Son mari se demanda si il allait oser lui raconter qu’il avait entendu prononcer le nom « Bretteur ». Il préféra s’en abstenir. D’un air aussi détaché que possible ,il dit :

-Leur fils.. Il a à peut près le même age que Dupet, non ?

-J’imagine, répliqua Mrs Dulait avec raideur.

-Comment s’appel-t-il, déjà ? Dufy, c’est ça ?

-Dolly. Un nom ordinaire pour garçon, très désagréable, si tu veux mon avis.

-Ah oui, répondit Mr Dulait en sentant son cœur s’arrêter. Oui, je suis d’accord avec toi.

Il ne dit plus un mot de plus à ce sujet tandis qu’ils montaient l’escalier pour aller se coucher. Pendant que Mrs Dulait était dans la salle de bain, Mr Dulait se glissa vers la fenêtre de la chambre et jeta un coup d’œil dans le jardin. Le chat était toujours là. Il regardait dans la rue comme si il voulait chier et que ça sortait pas.

Les Dulait se mirent au lit. Mrs Dulait s’endormit très vite mais son mari resta éveillé, retournant dans sa tête tout les évènements de la journée. La seule pensée qui le consola était que Magalie sera virée de la Star Academy.

Tandis que Mr Dulait se laissait emporté dans un sommeil quelque peut agité, le chat sur le mur. Lui, ne montrait aucun signes de somnolence. Il ne bougea pas lorsqu’un hiboux lui chia dessus, ni quand Vincent McDoom passa devant lui en chantant « I’m sining in the rain… ». Il était presque minuit quand il bougea enfin.

Un homme apparut à l’angle de la rue que le chat avait observé pendant tout ce temps. Il apparut si soudainement et dans un tel silence qu’il semblait avoir jaillit du sol. Le chat fit un clin d’œil discret à l’homme qui venait d’apparaître et sa queue frémit. On n’avait jamais vu à Navet Cerise quelque chose qui ressemblât à cet homme. Il était grand, mince et très vieux, à en juger par la couleur argentée de ses cheveux et de sa barbe qui lui descendait jusqu’à la taille. Il portait une longue robe, une cape violette fluo qui balayait le sol et chaussé de bottes à haut talons munies de boucles. Ses yeux bleus et brillants étincelaient derrière ses lunettes en forme de cœur et son long nez crochu donnait l’impression d’avoir été cassé au moins deux fois. Cet homme s’appelait Alus Bubbledore.

Il chercha quelque chose dans sa poche mais il se sentant observé, il leva brusquement les yeux vers le chat

-Ho non, pas cette pot de colle…

Il avait trouvé ce qu’il cherchait dans un poche intérieur. Apparemment il s’agissait d’un briquet en argent, mais il fait aussi radio, canif et Eteignoir. Il leva le briquet au-dessus de la tête et l’alluma. Le réverbère le plus proche s’éteignit alors avec un petit claquement. Il fit de même pour tout les réverbères de la rue. Si quelqu’un regardait par la fenêtre en cet instant, il aurait été incapable de voir le moindre détail de ce qui se passait dans la rue. Bubbledore rangea son super briquet multifonctions dans la poche de sa cape et marcha en direction du numéro 4. Lorsqu’il y parvint, il s’assit sur le muret à coté du chat. Il ne lui accorda pas un regard, mais après un moment de silence, il lui parla :

-C’est vraiment chiant de vous trouver ici, professeur McDonald, dit-il.

Il tourna la tête et lança un regard noir au chat tigré, mais celui-ci avait disparu. Bubbledore souriait méchamment à une femme d’allure sévère avec des lunettes rose bonbon qui avaient exactement la même forme que les motifs autour des yeux du chat. Elle aussi portait une cape, d’un vert émeraude… fluo. Ses cheveux étaient tirés en un chignon serré et elle avait l’air singulièrement agacée.

-Comment avez-vous su que c’était moi ? Demanda-t-elle.

-Je n’ai jamais vu un chat aussi laid et se tenant aussi raide de ma vie.

-Vous aussi, vous seriez un peut raide si vous restiez assis toute une journée sur un mur de briques, répondit le professeur McDonald.

-Toute la journée ? Je n’aurais jamais crut que vous étiez aussi…. enfin bref, vous auriez du fêter l’évènement avec les autres. J’ai dû voir une bonne douzaine de banquets et de fêtes en venant ici.

Le professeur McDonald renifla bruyamment la morve qui coulait de son nez.

-Oui, oui, je sais, tout le monde fait la fête, dit-elle avec agacement. Même les Molducus ont remarqué quelque chose. Ils en ont parlé à la Star Academy. Mireille Mathieu s’est trompée à la météo, des hiboux ont attaqués Magalie, Mr Dulait s’est douté de quelque chose.

-On ne peut pas leur en vouloir, dit Bubbledore avec douceur. Nous n’avons pas eut grand chose à célébrer depuis 11 ans.

-Je sais, répliqua le professeur McDonald d’un air sévère, mais ce n’est pas une raison pour sortir en pleins jour s’en prendre la précaution de s’habiller comme un Molducu !

Elle regarda Bubbledore en espérant qu’il serait de son avis.

-Vous voulez un esquimau au citron ?

-Un quoi ?

-Un esquimau au citron. C’est une friandise que fabriquent les Molducus et je dois dire que c’est plutôt dégueulasse, c’est pour ça que je vous en proposais.

-Merci, pas pour moi, répondit froidement le professeur McDonald qui semblait estimer que ce n’était pas le moment de manger des glaces au citron. Je vous disais que même si Celui-dont-il-ne-faut-pas-prononcer-le-nom-car-cela-ne-se-fait-pas-alors-il-ne-faut-pas-le-prononcer est vraiment parti…

-Mon cher professeur, quelqu’un d’aussi {censuré} que vous ne devrait pas hésiter à prononcer son nom, ne croyez-vous pas ? Cette façon de dire tout le temps « Celui-dont-il-ne-faut-pas-prononcer-le-nom-car-cela-ne-se-fait-pas-alors-il-ne-faut-pas-le-prononcer » n’a aucun sens. Pendant onze ans, j’ai essayé de convaincre les gens de l’appeler par son vrai nom : Voldecoke.

Le professeur McDonald fit une grimace, mais Bubbledore qui avait déjà sortit deux esquimaux au citron ne parut pas le remarquer.

-Si nous continuons à dire « Celui-dont-il-ne-faut-pas-prononcer-le-nom-car-cela-ne-se-fait-pas-alors-il-ne-faut-pas-le-prononcer », nous allons finir par créer la confusion. Je ne vois aucune raison d’avoir peur de prononcer le nom de Voldecoke.

-Je sais bien que vous n’en voyez pas, répliqua le professeur McDonald qui semblait à moitié exaspérée, moitié en train de se faire chier. Mais vous, vous êtes différent des autres. Tout le monde sait que vous êtes le seul à avoir jamais fait peur à Celui-dont-il-ne-faut-pas-prononcer-le-nom-car-cela-ne-se-fait-pas-alors-il-ne-faut-pas-le-prononcer … ou à Voldecoke, si vous y tenez.

-Vous me flattez, dit Bubbledore d’une voix tranquille. Voldecoke a des capes fluo que je n’ais jamais eus.

-C’est simplement parce que vous avez pas assez de fric pour vous en payer, au lieu de le dépenser pour des p****, vous devriez le dépenser dans des vêtements.

-Heureusement qu’il fait nuit.. Je n’ai jamais autant rougi depuis le jour ou Madame Pommfraîche m’a dit qu’elle trouvait mes nouveaux cache-oreilles ravissants.

Le professeur McDonald lança un regard perçant à Bubbledore.

-Les hiboux, ce n’est rien comparé aux rumeurs qui circulent, déclara-t-elle. Vous savez ce que tout le monde dit sur les raisons de sa disparition ? Ce qui a fini par l’arrêter ?

Le professeur McDonald regarda intensément Bubbledore, cette question lui brûlait les lèvres depuis ce matin, quand elle s’est assise sur ce mur glacial. C’était d’ailleurs la raison qui l’a poussée à venir. Bubbledore n’avait pas écouté ce qu’avait dit le professeur McDonald, il était trop occupé à se demander quel sera le parfum de son prochain esquimau.

-Ce qu’ils disent, poursuivit le professeur, c’est que Voldecoke est venu hier soir à Sleepy’s Hollow pour y chercher les Bretteur. D’après la rumeur, Lala et Jesmes Bretteur sont… enfin, on dit qu’ils sont… mort….

Bubbledore inclina la tête. Le professeur McDonald avait du mal à reprendre sa respiration (elle est asthmatique).

-Lala et Jesmes… Depuis le temps que j’attendais ce mo… heu… Je veux dire… Je suis si triste… c’est horrible… je n’arrive pas à y croire… Oh, Alus…

Bubbledore tendit la main et lui tapota l’épaule, jusqu’à ce qu’elle crie de douleur.

-Je sais… je sais… dit il gravement.

-Et ce n’est pas tout, reprit le professeur McDonald d’une voix tremblante. On dit qu’il a essayé de tuer Dolly, le fils des Bretteurs. Mais il en a été incapable. Il n’a pas réussit à supprimer ce môme. Personne ne sait pourquoi ni comment, mais tout le monde raconte que lorsqu’il a essayé de tuer Dolly Bretteur sans y parvenir, le pouvoir de Voldecoke s’est brisé, pour ainsi dire, et c’est pour ça qu’il a… disparu.

Bubbledore hocha la tête d’un aire sombre.

-C’est… c’est vrai ? bredouilla le professeur McDonald. Après tout ce qu’il à fait… tous les gens qu’il a tués… il n’a pas réussit à tuer cette petite merde de Dolly ? C’est stupéfiant… rien d’autre n’avait pu l’arrêter… mais, au nom du fils et du saint esprit, comment se fait-il que Dolly ait pu survivre ?

-On ne peut faire que des suppositions, répondit Bubbledore. On ne saura peut être jamais.

Le professeur McDonald et Bubbledore restèrent silencieux durant 5 minutes, puis Bubbledore sortit une montre en bronze de sa poche qu’il consulta. C’était une montre étrange. Elle avait 12345 aiguilles, mais pas de chiffres. A la place il y avait divers images des Teletubbies, plus débiles les unes des autres. Tout cela devait avoir un sens pour Bubbledore car il remit la montre dans sa poche en disant :

-Haride est en retard. Au fait, j’imagine que c’est ce gros tas qui vous a dit que je serais ici ?

-Oui, admit le professeur McDonald, et je suppose que vous n’avez pas l’intention de me dire pour quelle raison vous êtes venu dans cet endroit précis ?

-Exactement, je ne te dirais pas que je suis venu confier Dolly à sa tante et son oncle, qui sont la seule famille qui lui reste désormais.

-Vous voulez dire… non, c’est impossible ! Pas les gens qui habitent dans cette maison ! S’écria le professeur McDonald en se levant d’un bond, le doigt pointé sur le numéro 4 de la rue. Bubbledore… Cette famille est cinglée, le père et le mère fument du shit et le fils n’arrête pas de dire « Ta gueule ! » en donnant des coups de poing à sa mère. Si Dolly va ici il sera…

-C’est bien ce que je dis, c’est le meilleur endroit pour lui. Répliqua Bubbledore d’un ton joyeux. Son oncle et sa tante lui expliqueront tout quand il sera plus grand. Je leur ai écrit une lettre.

-Une lettre ? répéta le professeur McDonald d’une voix éteinte en se rasseyant sur le muret. Bubbledore, vous croyez vraiment qu’il est possible d’expliquer tout ça dans une lettre ? Des Molducus pareils seront incapables de comprendre ce garçon ! Il va devenir célèbre, une véritable légende vivant, je ne serais d’ailleurs pas étonnée que la date d’aujourd’hui devienne la fête de Dolly Bretteur. On écrira des livres sur lui, tous les enfants de notre monde connaîtront son nom !

-Exactement, ce gamin doit vivre à l’écart de tout cela, il ne mérite pas de vivre dans la gloire, car ce n’est qu’un bambin qui a survécu alors qu’on aurait préféré sa mort… Je plaisante Minèrve, pas la peine de sourire.

-Oui, oui, bien sûr, vous avez raison. Mais comment cet enfant va-t-il arriver ici, Bubbledore ?

Elle regarda soudainement sa cape comme si elle pensait que Dolly était caché dessous.

-C’est Haride qui doit l’amener, dit Bubbledore.

-Haride… HAHAHAHAHAHA !… Excusez moi, vous croyez vraiment qu’il est… sage de confier une tâche aussi importante à Haride ?

-Je confierais mon propre poisson rouge à Haride, assura Bubbledore.

-Je ne dit pas qu’il manque de cœur, répondit le professeur McDonald avec réticence, mais reconnaissez qu’il est passablement négligent. Il a tendance à… Qu’est ce que c’est que ça ?

Un grondement sourd se fit entendre et un homme apparut. Il était à peu près deux fois plus grand que la moyenne et au moins cinq fois plus large. Il était tellement grand qu’on avait peine à le croire. On aurait dit un sauvage, avec ses longs cheveux noirs en broussaille, sa barbe qui cachait presque entièrement son visage, ses mains de la taille d’un couvercle de poubelle et ses pieds chaussés de bottes en cuir qui avaient l’air de bébés dauphins. L’homme tenait un parapluie rose et un tas de couvertures dans ses immenses bras musculeux.

-Salut bande de blaireaux, comment ça va ? fit le géant en voyant Bubbledore et McDonald.

Bien, bien, répondit Bubbledore. Vous n’avez pas eu de problèmes ?

-Non, Monsieur. La maison était presque entièrement détruite mais je me suis débrouillé pour sortir de là avant que les Molducus commencent à rappliquer. Il s’est endormi après que je lui ais raconté la blague sur le sorcier et le Molducu.

Bubbledore et le professeur McDonald se penchèrent sur le tas de couvertures. A l’intérieur, à peine visible, un bébé dormait profondément. Sous une touffe de cheveux d’un noir de jais, ils distinguèrent sur son front une étrange coupure en forme de cannabis.

-C’est là que ?… s’exclama le professeur McDonald.

-Oui, répondit Bubbledore. Il gardera cette cicatrice à tout jamais.

-Bien fait pour lui… Murmura le professeur McDonald.

-Vous ne pouvez pas arranger ça Bubbledore ? Demanda Haride.

-Même si je le pouvais, je ne le ferais pas. Les cicatrices sont parfois utiles. Moi-même, j’en ai une au dessus du genou gauche, qui représente le plan exacte de la colline des Teletubbies. Donnez-le moi Haride, il est tant de faire ce qu’il faut.

-Est-ce que… est-ce que je pourrais lui dire au revoir Monsieur ? demanda Haride.

-Non. Répliqua sèchement Bubbledore.

Haride lâcha alors un long hurlement de chien blessé.

-Chut ! siffla le professeur McDonald. Vous allez réveiller les Molducus !

-Mais il ne veut pas que… et Lala et Jesmes qui meurent… ce pauvre petit qui va aller vivre chez des Molducus…

-Vous n’aviez cas lui dire au revoir avant, mais ressaisissez-vous, Haride, sinon nous allons nous faire repérer, chuchota le professeur McDonald en tapotant doucement la jambe d’Haride tandis que Bubbledore enjambait le muret du jardin et s’avançait vers l’entrée de la maison.

Avec violence il lâchât Harry devant la porte, glissa une lettre entre les couvertures puis revint vers les deux autres.

-Eh bien voilà, dit Bubbledore. Il est inutile de rester plus longtemps ici. Autant rejoindre les autres pour faire la fête.

-Oui, dit Haride d’une vois étouffée. Moi je vais rendre visite à Sirius, il m’a aidé à chercher Dolly sous les décombres. Bonne nuit, professeur McDonald, professeur Bubbledore, Monsieur.

Haride disparut avec fracas, laissant un étrange nuage de fumée derrière-lui.

-A bientôt, j’imagine, professeur McDonald, dit Bubbledore avec un signe de tête.

Il fit volte-face et s’éloigna le long de la rue. Il s’arrêta au coin, prit son briquet multifonction et ralluma tout les réverbères. Navet Cerise fut soudain baigné d’une lueur orangée et Bubbledore aperçut un chat tigré qui tournait à l’angle de la rue. Il aperçut également le tas de couvertures devant la porte du numéro 4.

-Bonne chance Dolly… quelle sale nom d’ailleurs… murmura Bubbledore avant de disparaître dans un bruissement de cape.

La rue était redevenue silencieuse, jamais on n’aurait imaginé que des évènements extraordinaires venaient de ce dérouler il y à quelques secondeS. Dolly Bretteur se retourna dans ses couvertures, sans se réveiller. Sa petite main se referma sur la lettre posée à coté de lui et il continua de dormir sans savoir qu’il était un être exceptionnel, sans savoir qu’il était déjà célèbre, sans savoir que deux et deux faisaient 4 et enfin, sans savoir qu’il sera réveillé dans quelques heures par les cris de Mrs Dulait qui ouvrirait la porte pour sortir les bouteilles de lait et que pendant des semaines, il serait piqué et pincé par son cousin Dupet… Il ne sait pas non plus que partout dans le monde, des gens s’étaient rassemblés en secret et qu’ils levaient leur verre en murmurant : « A la santé de Dolly Bretteur. Le survivant de la mort qui tue.

Stargaza-chan
Novice Niveau 5
Novice Niveau 5
Messages : 185
Inscription : 28 nov. 2004 21:09
Finaland  :

Messagepar Stargaza-chan » 07 nov. 2005 21:50

Bon, j'aime pas trop le fait de caricaturer Harry Pooter paske j'adore mais là c'est plutôt marrant, les noms sont pas mal et les déformations du texte original plutôt marrantes, d'ailleurs on voit que vous avez quasi copié mot pour mot les texte....avec vos modifs bien sur ;)

Korok
Disciple Niveau 7
Disciple Niveau 7
Messages : 483
Inscription : 06 janv. 2005 13:15
Localisation : DMC
Contact :
Finaland  :

Messagepar Korok » 08 nov. 2005 6:41

Uai, c'est le but XD on déforme tout les chapitres... avec nos mots c_c

Korok
Disciple Niveau 7
Disciple Niveau 7
Messages : 483
Inscription : 06 janv. 2005 13:15
Localisation : DMC
Contact :
Finaland  :

Messagepar Korok » 10 nov. 2005 18:53

Résumé du chapitre précédent: Des trucs se sont passé et ont provoqué des chose.

Chapitre 2 : Le cochon rose

Il s’était passé près de 10 ans depuis que Dupet avait appris « Ta gueule ! », mais Navet Cerise n’avait quasiment pas changé. Ce matin là, le soleil se leva (comme d’habitude en gros) sur les mêmes petits jardins proprets en faisant étinceler la plaque de cuivre qui portait le numéro 4, à l’entrée de la maison des Dulait. La lumière du matin s’infiltrait dans le salon, dans ce salon oú, dix ans plus tôt, Mr Dulait avait vu Mireille Mathieu se tromper à la météo. Sur la manteau de la cheminée, on distingue quelques photos d’un gros ballon rose, plus connu sous le nom de Dupet. On voyait Dupet sur le tricycle de son père, devant un porno, rackettant les petits dans une fête foraine et au toilette. Rien dans cette pièce ne laissait deviner qu’un autre petit garçon habitait dans la même maison.

Et pourtant, Dolly Bretteur était toujours là, c’est chiant mais c’est la vie. Dolly dormait pour le moment, mais pas pour longtemps sa tante Pétunia était bien réveillée et ce fut sa voix perçante qui brisa le silence de cette belle matinée.

-Allez, debout ! Plus vite que ça bande de blaireaux !

Dolly se réveilla en sursaut. Sa tante tambourinait à la porte.

-Tu te lève ptit con ? hurla-t-elle de sa voix suraiguë.

Dolly l’entendit s’éloigner vers la cuisine et poser une poêle sur la cuisinière. Il se tourna sur le dos et essaya de se rappeler le rêve qu’il était en train de faire. C’était un beau rêve, une personne âgée le gicla sur le sol, devant la porte de la maison, et il eut l’étrange impression d’avoir déjà fait le même rêve auparavant.

Sa tante était revenue derrière la porte.

-Tu es debout mon amour ? demanda-t-elle d’une voix douce.

-Hein ? heu… presque, répondit Dolly.

-TANT MIEUX VA SURVEILLER LE BACON, QUAND JE T’APPELAIT MON AMOUR C’ETAIT HIRONIQUE. Si le bacon brûle tu dormira dans le placard de la cage d’escalier… ha mince, c’est déjà fait… Si rien n’est parfait le jour d’anniversaire de mon Dupetnichou chéri adoré, tu en subira les conséquences !

-Quelle emmerdeuse, murmura Dolly.

-Qu’est-ce que tu dis ? glapit sa tante derrière la porte.

-Rien, rien…

L’anniversaire de Dupet ! Comment avait-il pu l’oublier ? Dolly se glissa lentement hors du lit et chercha ses chaussettes. Il en trouva une paire sous le lit, et après avoir chassé les vers de terre qui étaient à l’intérieur d’une d’elles, il les enfila. Dolly était habitué aux vers de terre. Le placard sous l’escalier en était plein. Or, c’était là qu’il dormait.

Lorsqu’il eut fini de s’habiller, il sortit dans le couloir et alla dans la cuisine. La table avait presque entièrement disparu sous une montagne de cadeaux. Apparemment, Dupet avait un nouvel ordinateur de sale qualité, sans parler de la collection complète des Teletubbies en DVD et du vélo de course. La raison pour laquelle Dupet voulait un vélo de course restait un mystère aux yeux de Dolly, car Dupet était gros et détestait faire du sport – sauf bien sur quand il s’agissait de boxer quelqu’un. Son punching-ball préféré était Dolly, 10 points pour un nez cassé, 5 pour des lunettes cassées et enfin 100 si il ne bougeait plus, mais il était rare qu’il parvienne à l’attraper. Même s’il n’en n’avait pas l’air, Dolly était très rapide.

Peut-être était-ce parce qu’il vivait dans un placard, en tout cas, Dolly avait toujours été minuscule et maigre pour son âge. Il paraissait d’autant plus minuscule et maigre qu’il était obliger de porter les vieux vêtements de Dupet qui était à peut près quatre fois plus gros que lui. Dolly avait une sale gueule, des genoux noueux, des cheveux noirs et des yeux d’un vert brillant. Il portait des lunettes rondes qu’il avait fallu rafistoler avec du papier collant à cause des nombreux coup de poings que Dupet lui avait donné sur le nez. La seul chose que Dolly aimait bien dans son apparence physique, c’était l’énorme cicatrice qu’il portait sur le front et qui avait la forme de cannabis. Aussi loin que remontaient ses souvenirs, il avait toujours eut cette cicatrice et la première question qu’il se rappelait avoir posé à sa tante Pétunia, c’était : C’est quoi du cannabis ?

-Ce que ton oncle et moi fumons dans le salon, contente toi de ton horrible cicatrice sur ton front ! Et ne pose pas de question.

Ne pose pas de questions – c’était la première règle à observer si l’on voulait vivre tranquille avec les Dulait.

L’oncle Vermont entra dans la cuisine au moment oú Dolly crachait sur les bacons.

-Qu’est-ce que tu fais ? Va te peigner ! aboya Mr Dulait en guise de bonjour.

Une fois par semaine environ, l’oncle Vermont levait les yeux de son magasine pour homme (vous savez de quoi je parle…) pour crier haut et fort que Dolly avait besoin de se faire couper les cheveux. Dolly s’était fait raser le crane plus souvent que tout ses camarades de classe réunis, mais ses cheveux repoussaient comme avant en 5 jours…

Dolly était en train de baver mettre du sucre sur les œufs au plat lorsque Dupet arriva dans la cuisine en compagnie de sa mère. Dupet ressemblait beaucoup à l’oncle Vermont. Il avait une grosse figure rose, un cou presque inexistant, de petits yeux bleus et humides et d’épais cheveux blonds qui s’étalaient sur le sommet de sa tête épaisse et grasse. La tante Pétunia disait souvent que Dupet avait l’air d’un porc – et Dolly disait souvent qu’il avait l’air d’une truie avec une perruque.

Dolly essaya de disposer sur la table les assiettes spécial Dolly (Bacon au crachat et œufs au sucre), ce qui n’était pas facile en raison du peut de place qu’il restait. Pendant ce temps, Dupet compta ses cadeaux. Lorsqu’il eut terminé, ses jouets s’affaissèrent.

-123, dit-il en levant les yeux vers ses parents, ça fait 19 de moins que l’année dernière.

-Mon petit chéri, ça fait 124, tu n’a pas compté le cadeau de la tante Marge, regarde, il est là, sous ce gros paquet que papa et maman t’ont offert.

-D’accord, ça fait 132, dit Dupet qui commençait à devenir rouge.

Dolly, qui sentait venir ces grosses colères dont Dupet avait le secret, s’empressa d’engloutir ses œufs au bacon avant que l’idée vienne à son cousin de renverser la table. De toute évidence, la tante Pétunia avait également sentit le danger.

-Et nous allons encore t’acheter deux autres cadeaux, dit-elle précipitamment, quand nous sortiront tout à l’heure. Qu’est-ce que tu en dit, mon petit porc ? Deux autres cadeaux. C’est bon ?

Dupet réfléchit un bon moment. Apparemment, c’était un exercice difficile. Enfin, il dit lentement :

-Donc j’en aurais cent…cent…

-Cent nonante et un, mon canard adoré, dit la tante Pétunia.

« Le calcul n’est pas le fort des Dulait… » pensa Dolly.

-Bon, dans ce cas, ça va. Dit finalement Dupet.

Dupet s’assit lourdement sur une chaise et attrapa le cadeau le plus gros.

-Tu choisit le cadeau qui te ressemble le plus, hein mon bonhomme ? Tel père tel fils ha ha ha ha. Fit l’oncle Vermont.

A ce moment on sonna à la porte et la tante Pétunia alla ouvrir.

-Ho, Mrs Figgs ? Que faîtes-vous ici? Demanda Pétunia.

-Je me suis cassée la jambe donc je ne peux pas chercher Dolly, je suis vraiment déééésolée… mon médecin m’a dit de ne pas bouger de chez moi et de me reposer.

-Ho non ! On a vraiment pas de chance ! Cria Pétunia en claquant la porte sur Mrs Figgs.

« ça a marché, quelle femme vraiment stupide ! » Pensa Mrs Figgs en retournant joyeusement chez elle.

-Mauvaise nouvelle, Vermont. Mrs Figgs s’est cassée une jambe. Elle ne pourra pas le prendre, dit-elle en montrant Dolly d’un signe de tête.

Horrifié, Dupet resta bouche bée. Dolly, lui, sentit son cœur faire un bond dans sa poitrine. Chaque année, le jour de l’anniversaire de Dupet, ses parents l’emmenaient avec un « ami » dans des parcs d’attractions, au cinéma ou dans des fast-foods oú il pouvait se gaver de hamburgers. Et chaque années, on confiait Dolly à Mrs Figgs, une vieille folle qui habitait la maison en face. Dolly détestait aller là-bas. Toute la maison sentait le shit et Mrs Figgs passait son temps à lui montrer des photos de tout les réverbères qu’elle a trouvé joli.

-C’est malin ! Dit la tante Pétunia en jetant un regard furieux à Dolly comme si c’était lui le responsable de la situation.

Dolly n’en avait rien à faire, il avait prié toute la nuit pour qu’il n’aille pas chez elle et ça avait apparemment marché. Il restait un an avant d’y retourner, cette penser fit plaisir à Dolly mais sûrement pas à Pétunia.

-On pourrait peut-être téléphoner à Marge, suggéra l’oncle Vermont.

-Ne dit pas de bêtises, Vermont, tu sait bien qu’elle le tuerait si elle restait seule avec lui plus d’une heure.

Les Dulait parlaient souvent de Dolly comme s’il n’était pas là – ou plutôt, comme s’il était un être dégoûtant, ce qui est le cas vu sa façon de cuisiner, une sorte de limace incapable de comprendre ce qu’ils disaient.

-Et ton amie… comment elle s’appelle déjà ? Ah oui, Yvienne Dutrou…

-Elle est morte il y a trois ans, répliqua sèchement la tante Pétunia.

-Vous n’avez cas me laisser ici, intervint Dolly plein d’espoir. Je ne toucherait surtout pas aux cadeaux de Dupet… ni à la télévision…

On aurait dit que la tante Pétunia venait d’avaler danao de danone périmé.

-C’est ça, grinça-t-elle, et quand nous reviendront la maison sera en ruine ?

-Non, je ne la ferais pas sauter, assura Dolly, mais ils ne l’écoutaient plus.

-Nous pourrions peut-être l’emmener au zoo, dit la tante Pétunia, et l’attacher à un arbre.

-Pas question, il risque de casser la corde, trancha Mr Dulait.

Dupet se mit à pleurer bruyamment. En fait, il ne pleurait pas pour de bon. Cela faisait des années qu’il ne pleurait plus vraiment. Il savait très bien qu’en tordant son visage et en poussant des gémissement il obtiendrait ce qu’il voulait de sa mère.

-Mon ptidupetchériadorédamourquejaime, ne pleure pas. Maman ne va pas laisser gâcher ta plus belle journée, s’écria Mrs Dulait en le serrant dans ses bras.

Je…veux…pas…qu’il…vienne ! hurla Dupet d’une voix secouée de faux sanglots. Il gâche… toujours tout !

Dupet adressa alors à Dolly un horrible sourire entre les bras de sa mère.

Au même moment, la sonnette de la porte d’entrée retentit.

-Oh, mon Dieu, les voilà ! dit précipitamment la tante Pétunia.

Un instant plus tard, Pliers LolKiss, le meilleur ami de Dupet, entra dans la maison en compagnie de sa mère.
Pliers était un garçon efflanqué avec une tête de… enfin bref, il avait une sale tête. Quand Dupet frappait quelqu’un, c’était toujours Pliers qui tenait par-derrière les mains de la victime, pour l’empêcher de se défendre. Dupet cessa aussitôt sa comédie.

Une demi-heure plus tard, Dolly se trouvait attaché et bâillonné à l’arrière de la voiture, assis entre Dupet et Pliers. Il n’en croyait pas sa chance, il allait pour la première fois de sa vie dans un zoo. Son oncle et sa tante n’avaient pas trouvé d’autre solution que de l’emmener avec eux, mais avant de partir, l’oncle Vermont avait pris Dolly à part.

-Je te préviens, avait-il dit, sa grosse figure rouge tout contre le visage de Dolly, je te préviens que si tu lâche le moindre gaz, tu ne sortiras pas de ce placard avant noël.

-Je ne ferais rien, assura Dolly, enfin pas de gaz du moins…

-Ni de choses bizarre. Dit l’oncle Vermont en prenant Dolly part le col.

-N…Non, j’étouffe….breugheuarg, fit Dolly d’une voix étouffée.

Mais l’oncle Vermont ne le croyait pas. Personne ne le croyait jamais.

Un jour, la tante pétunia avait fait fumer du shit à Dolly, pour passer le temps, mais Dolly resta le m^me, ne sortant aucune connerie, comme tout les fumeurs de shit après avoir fumer…du shit. Il avait été puni d’une semaine de placard sans sortir, malgré tout les efforts pour faire admettre qu’il ne comprenait pas ce qui avait bien pu se passer pour qu’il ne ressente rien.

Une autre fois, Dolly se faisait poursuivre par Dupet et sa bande et la bande de Dupet s’était mystérieusement retrouvée asthmatique. Personne n’a jamais compris comment ils ont put tous devenir asthmatique en même temps.

En revanche, il eut de sérieux ennuis à l’école, le jour ou on l’avait retrouvé dans le placard du directeur durant une séance spéciale avec la secrétaire (vous voyez le genre de séance non ?). Les Dulait avaient reçu une lette furieuse du directeur dans lequel il affirmait que Dolly était un pervers. Pourtant, comme il l’avait expliqué à l’oncle Vermont à travers les barreaux de son placard, il avait simplement ouvert la porte de la cantine et s’était retrouvé dans le bureau du directeur, sortant d’un placard. Dolly pensait que c’était le shit de la tante Pétunia qui lui avait fait croire qu’il allait à la cantine, alors qu’il se dirigeait en fait ailleurs.

Tandis qu’il conduisait la voiture, l’oncle Vermont se plaignait à la tante Pétunia. Il aimait bien se plaindre de choses et d’autres. Ce matin là, c’en était aux bébés qu’il en avait.

-…Braillent tout le temps, ces petits voyous ! dit-il alors qu’il percutait une poussette.

-J’ai rêvé qu’on me balançait sur le sol, devant votre porte, comme si j’étais un bébé, dit Dolly qui se souvenait soudain de son rêve. C’était un vieux habillé en fluo qui m’a balancé par terre.

L’oncle Vermont faillit percuter la voiture qui le précédait. Il se retourna brusquement, son visage si rouge qu’il ressemblait à une tomate farcie.

-LES VIEUX NE S’HABILLENT PAS EN FLUO ! hurla-t-il.

Dupet et Pliers ricanèrent.

-Je le sait bien, répondit Dolly, ce n’était qu’un rêve.

Les Dulait détestaient qu’il parle de choses sortant de l’ordinaire, comme si ils pensaient qu’il allait en tirer des idées dangereuses.

C’était un samedi nuageux et le zoo était vide, c’était un zoo merdique. Les Dulait achetèrent à Dupet et Pliers de grosses glaces au chocolat. Mais, avant qu’ils aient eu le temps de repartir, la jeune et horrible femme qui vendait les glaces avait demander ce que Dolly voulait. Les Dulait lui ont acheté une énorme glace à la vanille, pour la lui balancer dans la gueule dès que la vendeuse aurait le dos tourné.

Les Dulait et Dolly visitèrent tout le zoo, sauf l’enclos à cochon, qui était l’animal préféré de Dupet, qu’ils visitèrent à la fin. Dupet ne mit pas longtemps à trouver le plus gros des cochons. Il était si gros qu’il aurait put écraser la voiture des Dulait et la réduire en un petit tas de ferraille rien qu’en s’asseyant dessus, le cochon dormait profondément pour le moment.

Dupet, le nez collé contre la vitre, contemplait les poils sortant du c** du gros cochon.

-Fais le bouger, dit-il à son père d’une voix geignarde.

L’oncle Vermont tapota la vitre, mais le cochon ne bougea pas.

-Recommence, ordonna Dupet.

L’oncle Vermont donna des petits coups secs sur la vitres, mais le cochon continua à dormir.

-On se fait chier ici, marmonna Dupet en s’éloignant.

Dolly s’approcha de la cage pour observer le gros cochon. Il ressemblait beaucoup à Dupet, en moins enveloppé.

Le cochon ouvrit soudain ses petits yeux secs.

Lentement, très lentement, il leva la tête jusqu’à ce qu’elle soit au même niveau que celle de Dolly.

Et lui fit un clin d’œil.

Dolly en resta sans voix. Il jeta un coup d’œil aux alentours pour s’assurer que personne ne regardait, puis il fit un doigt d’honneur au cochon.

La grosse bête fit un signe de tête en direction des Dulait, puis il leva les yeux vers Dolly. Il semblait lui dire : « Encor un doigt d’honneur et je les appel pour qu’ils te frappent. »

-Sale porc va, dit Dolly. D’oú tu viens pour me faire autant chier ?

Le cochon montra un petit écriteau posé à coté de la vitre avec sa tête.

-Gros tas – C** de sa mère, lut Dolly. Moi aussi je viens du c** de ma mère, c’était bien là-bas ? demanda-t-il.

Le cochon désigna à nouveaux l’écriteau et Dolly lut la suite : « Né dans un labo de clonage ».

-Ha d’accord, t’es rien qu’un sale clone. Dit Dolly.

Le cochon fit un hochement de tête, lorsque une voix assourdissante retentit et les fit sursauter tout les deux.

-Dupetchéridamourquejaiménormémanetquejadorpluquetoutaumonde, cria la tante Pétunia, le cochon à bougé, va vite le voir.

Dupet revint vers la cage en se dandinant aussi vite qu’il le pouvait (-5 à l’heure).

-Pousse-toi de là, toi, dit-il en donnant un coup à Dolly qui le fit tomber sur le sol de ciment.

Ce qui se passa ensuite fut tellement rapide que personne ne vit comment c’était arrivé. Soudain, alors qu’ils se tenaient côte à côte devant la cage de verre, Pliers et Dupet firent un bond en arrière en poussant des cris d’horreur.

Dolly se redressa, le souffle coupé : la vitre qui retenait le cochon prisonnier avait disparu. Le gros cochon quitta sa cage en avançant lourdement sur le sol. Pris de panique, les visiteurs se précipitèrent vers la sortie du zoo en hurlant de terreur.

Au moment oú le cochon passa devant lui, Dolly eut l’impression d’entendre une voix basse et grave dire :

-Et maintenant, va te faire foutre ! Je m’barre de ce zoo à la con !

Le gardien de la zone « cochonne » était en état de choc.

La vitre, répétait-il. Oú est passée la vitre ?

Après que Pliers était rentré chez lui, racontant à tout le monde que le cochon voulait le tuer sous les ordres de Dolly, l’oncle Vermont dit à Dolly :

-Toi…placard….pas bouger…

Dolly se précipita dans le placard pendant que les Dulait fumaient du shit pour se changer les idées.

Dolly pensa dans son placard aux dix dernières années de sa vie, les tortures de son frère et de sa bande, les gens en tenu fluo qui le saluaient de loin qu’il pensait apercevoir partout dans la rue et enfin, il essaya de se rappeler son plus lointain souvenir… C’est une lueur verte et une horrible douleur au front. Dolly pensait que ça devait venir de l’accident de voiture qui a tué ses parents, le laissant orphelin chez les Dulait.

Á l’école, Dolly n’avait pas d’ami. Tout le monde savait que Dolly était le cousin de Dupet, donc personne ne lui parlait. Il faut dire qu’avec ses lunettes rafistolés, les pulls de Dupet trop gros pour lui et sa sale gueule, Dolly n’avait pas de succès.

Korok
Disciple Niveau 7
Disciple Niveau 7
Messages : 483
Inscription : 06 janv. 2005 13:15
Localisation : DMC
Contact :
Finaland  :

Messagepar Korok » 14 nov. 2005 20:39

Résumé du chapitre précédent: ya un cochon rose...

Chapitre 3: Un Bretteur allant à l'école des pommiers est un bon Bretteur

Dolly était puni depuis une semaine lorsque le jour qui allait enfin changer sa vie de...sa vie pas très heureuse arriva. La météo annonçait beau temps toute la journée...Si Mireille Mathieu ne s'était pas trompé durant l'épisode 129 de la Star'ac. Dolly comptait passer sa journée à dormir dans le placard sous l'escalier mais...

-Ptit con! va chercher le courrier! cria la tante Pétunia depuis la cuisine.

-J'y vais ! Répondit Dupet.

-Je parlais à Dolly voyons, mon Dupetnicouchéridamourquejèménormémantplusquetoutomondedelaterre. Lui répondit sa mére. Bouge ton cul Dolly!

Dolly sortit de son placard en grognant, il ramassa le courrier pendant que les Dulait s'installaient à table.

"Facture...facture...facture...10 minutes plus tard factures...factures...HO !!!! MAIS C'EST UNE...facture...facture...Lettre pour moi...facture....fac...hein?" fit Dolly en lisant les enveloppes.

-Dolly, amène tout de suite le courrier à la cuisine! dit l'oncle Vermont en tapant du poing sur la table.

-Aï! fit Dupet en se massant sa main dodue.

-Désolé, c'est de la faute de Dolly. Tu te vengera après. Dolly! bouge toi!

Dolly arriva enfin dans la cuisine, il posa les factures sur la table et lit l'envelloppe de sa lettre.

Dolly Bretteur, 4 Navet Cerise, sans le placard sous les escaliers, remplis de vers de terre. La lettre était écrite au fluo vert.

-Papa! Dolly à reçut une lettre! S'exclama Dupet.

-Lui...Une lettre...mais non voyons, c'est impossible. Dit l'oncle Vermont en se tournant vers Dolly. Non... C'est impossible!

Vermont se jeta sur Dolly, lui prit la lettre des mains et l'ouvrit.

-Dolly, Dupet, sortez d'ici, je dois restez seul avec Pétunia!

-Mais...Commença Dolly.

-D-E-H-O-R-S !!!!

Dolly et Dupet sortir de la cuisine en évitant les assiètes que leur lançait Pétunia.

Dolly resta vers la cuisine pour écouter ce que disaient Vermont et Pétunia tandis que Dupet alla se goinfrer dans sa chambre. Il entendit que des "Ho!" et des "Non..pas possible" puis l'oncle Vermont sortit de la cuisine en disant à Pétunia:

-Ils faut partir, si on reste là sans rien faire ILS viendront! Prend ta valise et met y Dupet...heu je veux dire... Prend ta valise et dit à Dupet de préparer la sienne, on va dans le vieux phare, ILS nous trouveront jamais là-bas. Vermont se tourna alors vers Dolly. Et toi... Sache que tu n'es qu'une source de problèmes et que tu ne t'en tirera pas comme ça!

-Mais...commença Dolly.

ZBAFF

Dolly se retrouva à terre, inconcient...

12 heures plus tard...

-Heu...ma tête.

Dolly leva les yeux, il se trouva dans une petite pièce, ronde, les murs étaient fait de pierre et l'endroit semblait assez vieux. Un feu brûlait dans une cheminée et les Dulait étaient chacun sur un fauteuil de la pièce, en face de Dolly. Dehors il y avait une véritable tempête....Mireille Mathieu s'était à nouveau trompée...

-On est où? Demanda Dolly en se levant.

-Dans un phare pourri au milieu d'une tempête! Cria l'oncle Vermont en saisissant Dolly par le col. Et tout ça part ta faute et EUX!

-EUX? demanda Dolly.

-Oui Eux, ont les appels plus souvent...ILS!!!

-Ho! fit Dolly, faisant semblant d'être surpris.

L'oncle Vermont retourna s'asseoir dans son fauteuil et Dupet lui demanda:

-On repart quand?

-Pas avant 1 mois, quand ILS seront LA-BAS! Répondit Vermont. Dupet, Dolly... Il se fait tard allez dormir bande de ptits cons.

Dolly venait à peine de se lever qu'il devait déja se rendormir, bien fait pour lui, en plus il souffre de la baffe de Vermont.... Bref, Dolly et Dupet allèrent dormir.

"Onze heures cinquante-huit" pensa Dolly plus tard en regardant la montre de Dupet, qui dormait sur le fauteuil au-dessus de lui. "Onze heures cinquante-neuf...une minute et j'ai 11 ans.........MINUIT! Fait un voeux Dolly!" Dolly souflla sur les bougies du gâteau qu'il avait dessiné sur le sol quelques instants plus tôt.

BROLOLOM

Un bruit assourdissant venaint de la porte du phare se fit entendre. Les Dulait se réveillèrent en sursaut et allèrent se plaquer contre le mur.

BROLOLOM...SCRATCH

La porte tomba soudainement devant Dolly, faisant apparaïtre devant-lui une immense personne portant une barbe noir.

-Salut bande de blaireaux! fit soudainemant l'homme. Je viens chercher Dolly Bretteur!

-Qui êtes vous? Demanda Dolly en se levant.

-Ta gueule petit, je m'appele Haride, Ruhméus Haride. Dolly, je suis heureux de te revoir! Tu est bien dodu ho ho ho. Dit Haride en s'approchant de Dupet.

-Je...je...Fit Dupet.

-Viens, on s'barre de chez cette bande de loozer...Qu'est ce que tu attend' ton gâteau d'anniversaire? bah tien, bouffe le vite et on y va. Dit Haride.

Dupet se précipita sur le gâteau et le finissa en quelque seconde.

-Bouge ton cul maintenant ptit blaireau, j'ai pas que ça à...ha si en fait, j'ai que ça à faire... bonh, grouille-toi!

-Je...je ne suis pas Dolly, c'est lui Dolly! Dit Dupet en désignat Dolly.

-...Bien sur que c'est ce ptit maigrichon affreux avec le canabis sur son front! je le savais ! ....JE LE SAVAIT, NE ME REGARDEZ PAS COMME SI JE NE LE SAVAIT PAS! Cria Haride.

-On...on a rien dit, commença Dolly, je...pourquoi voulez-vous m'emmener...et pourquoi vous avez un parapluie rose?

-Dolly...tu ne le sait pas? tu es un...un ILS! et pour le parapluie rose c'est parceque c'est ma couleur préférée...Ha oui, voici ta lettre que ton oncle et ta tante on jeté dans la poubelle de la cuisine du 4 Navet Cerise. Dit Haride en tendant à Dolly une lettre sentant le bacon et d'autres plats...

Dolly s'en saisit et la lut: Cher Dolly Bretteur, vous êtes, comme vous le savez SUREMENT un ILS (personnes maîtrisant la magie)... Vous allez à partir de cet année, allez à l'école des ILS, Pommiers, que l'on appels l'école....des pommiers. Le train viendra vous cherché au 9 3/4, dans la gare Rouling Proff le lundi 21 aout à 13h00. Voici la liste des choses et machins à acheter pour l'école:

-Une baguette de pain magique

-Une cape rose fluo

-Un animal au choix

-Livre pour les potions "Je potionne bien" édition jaspire

-Livre d'histoire des sorciers "Le truc qui s'est passé hier" édition coolstory

-Livre d'enchantement "Je suis enchanté de vous rencontrer" édition truchose

-Livre de métamorphose "Je me change tout les matins" édition truchose

-Des plumes pour écrire

-Des préservatifs (au cas ou)

-vous, si vous venez pas c'est un peut con...

Mes salutations les moins distinguées, Directeur de l'école des pommiers, Bubbledore.


-....Ouaaaaaah !!! fit Dolly.

-non, un chien fait Wouaf...Bon, allons-y Dolly, on va acheter tes fournitures d'école, comme le train par après-demain il vaut mieux se dépêcher! S'exclama Haride.

-Au revoir bande de blaireaux! Dit Dolly en suivant Haride à l'exterieur, dans la tempête.

-Copis pas ma phrase toi! dit Haride en lui frappant l'épaule. Bien, accroche toi à ma jambe, on va se télétransportater loin d'ici, près de l'endroit où il y a tes fournitures... Ha oui, encor un truc important, ce que tu tien n'es pas ma jambe... mes jambes sont à gauche et à droite de ce que tu tien...

-Je sait que ce n'es pas votre jambe! je voulais juste toucher! Dit Dolly en devenant tout rouge et en s'agrippant à la jambe droite d'Haride.

-Je t'ai laisser faire, mais la prochaine fois jte butte, ptit élu à la con!

-Elu?

-Ta gueule, tu comprendra tout plus tard, accroche-toi bien...PAS LA...Voilà, c'est bien...3...2...1

Brololom

Dolly et Haride disparurent, laissant les Dulait bouche bé dans le phare.


Hé oui, je préfère arrêter de modifier les paragraphes, donc j'invente tout tout tout pour une fois ^o^ et c'est moins long à lire!


Revenir à « Fan-Fics »

Qui est en ligne ?

Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur inscrit et 17 invités