Finaland Froum

qu'il est impressionant que il frappe le vent? (>.<)

Les hommes regroupés devant eux, tenant l'impasse, n'avaient rien d'amical et semblaient peu enclins à négocier le droit de passage. Ils avaient tout bonnement l'air de brigands dont l'occupation principale était de détrousser, voire de se débarasser des gens qui passaient par là. Garet recula et chercha fébrilement son arc dans son sac à dos. Les bandits étaient sept, et eux étaient deux. Il trouva enfin son arme et alors qu'il se redressait avec une flêche encochée, il vit alors un spectacle incroyable. 3 brigands gisaient à terre, et un autre s'éloignait en boitillant. Il tira et la flèche alla droit au but, s'enfonçant dans la chair du fuyard qui tomba à terre. Il se tourna alors vers le combat qui faisait rage en face de lui. Les brigands n'étaient plus que deux, tandis que Rohund écrasait son énorme hache sur la tête du sixieme brigand qui se fendit en deux sous le poids de l'arme. Le dernier brigand devait être le chef de la bande, il avait une longue épée et son corps, pourtant msculeux, paraissait maigre à coté de la masse de muscle ruisselante de sueur et brillante au soleil que représentait le guerrier qui s tenait en face de lui. Les deux hommes se regardèrent un cort instant, se jaugeant, puis le brigand passa à l'attaque, d'un coup de taille qui aurait oté la vie a plus d'un. Rohund fut plus rapide, et la tête du chef s'envola quelques metres plus loin, tranché par la hache a deux mains. Garet regarda son compagnon, qui se tourna vers lui, la bouche se fendant en un large sourire.

Les hommes regroupés devant eux, tenant l'impasse, n'avaient rien d'amical et semblaient peu enclins à négocier le droit de passage. Ils avaient tout bonnement l'air de brigands dont l'occupation principale était de détrousser, voire de se débarasser des gens qui passaient par là. Garet recula et chercha fébrilement son arc dans son sac à dos. Les bandits étaient sept, et eux étaient deux. Il trouva enfin son arme et alors qu'il se redressait avec une flêche encochée, Erilë sortit sa rapière et se mit en mouvement, plus rapide qu'un faucon foncant sur sa proie. Il porta un coup d'estoc suivi d'un cop de taille et deux bandits s'effondrèrent, sans un bruit. Déconcertés, les brigands se je tèrent un coup d'oeil puis, d'un signe de tête approbateur, encèrclèrent le compagnon de Garet. Celui-ci regarda Erilë, qui observait ses adversaires se mettre en place. Un bandit sauta alors au centre du cercle, sa masse en avant. D'un mouvement rapide et fluide, le mercenaire lui ôta la vie, lui plantant sa rapière a travers le corps. Garet lâcha sa flèche qui abbati un autre brigand, puis tous les autres se lancèrent dans la direction d'Erilë. Tout se passa alors très vite. Les 4 bandits qui restaient moururent quelques secondes après, l'un éventré, un autre la rapière plantée dans le corps, tandis qu'un autre avait le cou tordu das une position effroyable et que le dernier avait la nuque brisée. Erilë ramassa son arme, l'essuya soigneusement, puis, se tournant vers son compagnon, un rare sourire,discret, éclaircissant son visage rasé de près, d'ordinaire si sombre.